Incident dans le commissariat
Le 18 octobre 2006 à 19h30 la Hotline des Crimes Majeurs reçoit un appel téléphonique informant le décès par balle du dénommé JOSEPH DUCARMEL. Celui-ci aurait été tué par un policier de Thomazeau.
Le soir même, la Hotline reçoit un appel anonyme informant que la population a mis le feu au commissariat de Thomazeau pour protester contre le décès de Monsieur JOSEPH DUCARMEL.
Le 19 octobre, une équipe du Crime Majeur, composée des UNPOLs Louis HUNEAULT, Denis LE GUEDARD et Jean Christophe MARMIN, s’est rendue au Commissariat de Thomazeau.
Un contact est établit avec Monsieur SYDNEY Jean Joas, Commissaire de Police en charge du commissariat de Thomazeau et des enquêteurs de la DDO, à savoir Monsieur CHERICHEL Miklin, responsable des Crimes contre les Biens, Monsieur DESIR Alfred, Responsable du Service de l’Identité Judiciaire et Monsieur SALVADOR Jean Hilaire, Agent 3.
Des premiers éléments de l’enquête, il ressort que les policiers du commissariat de Thomazeau ont interpellé le nommé DUCARMEL Joseph alias WOULE GRENN pour voie de fait le 18 octobre à 18h30 environ. Une plainte ayant été déposé contre lui.
L’interpellation a été rédigée sur la main courante du Commissariat.
D’après les enquêteurs en charge du dossier, le chef de poste, SIDNEY Joseph Kinson, AGENT 3, aurait relâché sa surveillance de la personne interpellée qui n’était pas encore placée en garde à vue.
Celle-ci en a profité pour prendre la fuite en passant par la fenêtre du bureau du chef de poste, a traversé la cour du commissariat et a escaladé le mur d’enceinte. Ce mur était surmonté de barbelés.
L’Agent 3 a poursuivi l’individu et a tiré sur lui à trois reprises.
La victime se trouvait dans une ruelle et le policier se trouvait sur le mur au moment des tirs.
Cette version des faits a été largement véhiculée par la clameur publique.
Le policier SIDNEY Joseph Kinson était porteur d’un revolver de type 38 SP, il est actuellement en fuite.
Les enquêteurs ont pris les déclarations des membres de la famille et d’un policier.
Nous avons prêté notre concours pour la prise de clichés photographiques des lieux.
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Nous avons demandé à voir le registre de la main courante relatant l’interpellation, mais celle-ci a été détruite lors de l’émeute qui a suivi le décès du nommé DUCARMEL Joseph.
Durant les émeutes, une voiture saisie a été détruite, des projectiles ont été lancés contre le commissariat. Le feu a détruit plusieurs documents du commissariat et dégradé les locaux.
Les émeutes ont repris le 19 octobre durant la matinée. Les renforts composés des PNH et des FPU Jordaniens ont ramené le calme.
Le corps de monsieur DUCARMEL a été déposé à la morgue dans l’attente d’une autopsie.
Une planche photographique va être remise aux enquêteurs en charge du dossier.
Un suivi de l’enquête va être effectué par notre unité.
Dialogue
Louis: Bonjour, monsieur. Vous avez l’air très agité? Qu’est ce qui se passe?
Joseph: Bon. La situation est assez compliquée, nous nous trouvons face à un trouble grave de l’ordre public.
Louis: Quelle est la raison de cette émeute?
Joseph: Un de nos policiers a tiré sur un suspect qui a été tué.
Apres ça, beaucoup de gens du quartier sont arrivés pour protester contre cet événement.
Louis: Quelle était la raison de la garde à vue? Quel est le nom de ce suspect?
Joseph: Il y avait une plainte déposée contre le nommé Joseph Ducarmel.
Louis: Quels sont les dommages causés par l’émeute?
Joseph: Pendant l’émeute des projectiles ont été lancés contre le commissariat, une voiture a été brûlée, beaucoup de documents du commissariat ont été brûlés.
Louis: Est-ce que vous pouvez ajouter quelques détails à propos de cet incident?
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Joseph: OK. La foule a repris les émeutes le lendemain mais les actions combinées de la PNH et de la FPU Jordanienne ont ramené le calme.
Louis: Eh bien. Merci pour votre coopération. Nous allons ouvrir une enquête et vous tenir informé des résultats.
Joseph: Merci pour votre aide. Je vous souhaite une bonne journée. Au revoir.
1. Répondez aux questions:
- Qui a tué Joseph Ducarmel?
- Comment la population a-t-elle réagit?
- Combien de policiers se sont rendus au Commissariat?
- Sur quel soupçons est-ce qu’on a détenu la victime?
- Comment la victime a-t-elle pris la fuite?
- Combien de balles le criminel a-t-il reçu?
- Qu’est-ce qui a été détruit pendant l’émeute?
- Quelles unités ont rétablit l’ordre?
2. Donnez les réponses en utilisant le texte et le dialogue:
FICHE “ACTION”
| QUI ou QUOI? | |
| OÙ? | |
| QUAND? | |
| COMMENT? | |
| PAR OU? | |
| AVEC QUI? | |
| POURQUOI? | |
| PAR QUI? | |
| CONTRE QUI? | |
| CONTRE QUOI? |
3. Ecoutez bien le texte et le dialogue. Imaginez que vous êtes enquêteur, établissez le rapport policier.
Que fait la police
Un candidat policier passe son examen en vue de recevoir:
1. Son képi
2. Son ceinturon
3. Son revolver
L'examinateur lui pose 3 questions.
1. Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo?
- Pas de réponse.
Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N
- Pas de réponse.
Ensuite, il y a la lettre A.
- Na, Na..... Navaro?
Mais non NA..NA... puis il y a une P
- NAP, NAP..... Napoléon?
Oui, c'est bien cela. Vous avez droit à votre képi.
2. Quel était le nom du grand dictateur allemand en 1940?
- Pas de réponse.
Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI
- E.T.?
Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines)?
- Hitler?
Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.
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3. Qui a tué Jésus-Christ?
- Ça, je n'en ai aucune idée.
Écoutez, lui dit l'examinateur, rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.
Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s'est passé l'examen?
Très bien, dit-il, j'ai répondu à 2 bêtes questions, les doigts dans le nez (tu me connais) et on m'a déjà donné ma première enquête.
Дата добавления: 2015-12-21; просмотров: 19; Мы поможем в написании вашей работы! |
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