Microsoft veut proposer des doubles virtuels pour vaincre la mort



Selon le brevet déposé par la société, une intelligence artificielle permettrait de créer des chabots, imitant une personne vivante ou décédée, modélisée à partir de photos, de vidéos, de courriels, d’enregistrements de la voix, et même de messages postés sur les réseaux sociaux dans un troublant processus de nécromancie informatique.

 

Microsoft va jusqu’à envisager la possibilité d’instruire personnellement une intelligence artificielle afin de léguer à ses proches un double de soi-même le plus exact possible. Les possibilités ouvertes par cette technologie sont vastes et parfois inquiétantes, allant de la reconstitution de personnages historiques à des fins éducatives jusqu’à la création d’imposteurs virtuels, assez réalistes pour duper n’importe qui.

 

RÉSISTANCE à la hollandaise

 

PAYS-BAS

« Explosion au centre de test néerlandais, la police parle d’une action ciblée.

Dans une rue d’essai du Service municipal de santé (GGD) à Bovenkarspel aux Pays-Bas, un explosif a explosé à 7 heures ce matin. Personne n’a été blessé. »

https://m.standaard.be/cnt/dmf20210303_92897266

 

BELGIQUE

 

 

https://fb.watch/3-MKP7cvQc/

Elle est toujours occupée par le projet de loi Pandémie.

Non au Kidnapping du débat contradictoire et démocratique : https://notrebondroit.be/action-loi-pandemie

http://www.lachambre.be/media/index.html?language=fr&sid=55U1451&fbclid=IwAR0eH-bSxehLwxW_vB0HgmOMilKp_bYwKC_56W1vOj9j-HNyVMzZwHWQy0A

LIVE depuis la CHAMBRE

Débat sur le projet de loi pandémie.

https://notrebondroit.be/action-loi-pandemie

Synthèse du projet de loi pandémie- mars 2021

Alain Renard, juriste

Remarque: cette synthèse ne concerne pas la question des données qui fait l'objet de l'article 6 de cet avant-projet, et qui mériterait une analyse et une critique spécifiques (sur l'utilisation de nos données personnelles).

L'initiative de ce projet de loi vient du gouvernement.

Nous ne voyons donc pas, compte-tenu des éléments en notre possession, comment le Conseil d'État ne pourra pas être consulté, en sachant qu'il ne rendra qu'un avis, donc qui ne sera pas opposable.

L’urgence n’autorise pas le demandeur d’avis à ne pas solliciter l’avis de la section de législation du Conseil d'Etat au sujet de projets législatifs.

Cet avis est préalable au dépôt officiel à la Chambre.

L’avant-projet de loi parle expressément de police administrative, avec des conséquences dont on reparlera plus tard.

Une définition importante du texte est celle de « situation d'urgence épidémique ».

Il s’agit de tout événement qui entraîne ou qui est susceptible d’entraîner une menace grave suite à la présence d’un agent infectieux chez l’homme, et:

a) qui touche ou est susceptible de toucher un grand nombre de personnes en Belgique, qui y affecte ou est susceptible d’affecter la santé, et qui peut éventuellement y augmenter de manière significative le facteur de mortalité ou surmortalité;

 

b) et qui, de plus, conduit ou est susceptible de conduire à une ou plusieurs des conséquences suivantes en Belgique:

-une surcharge grave de certains professionnels des soins et services de santé;

-la nécessité de prévoir le renforcement, l'allégement ou le soutien de certains professionnels des soins et services de santé;

-le déploiement rapide et massif de médicaments, dispositifs médicaux ou équipement de protection individuelle;

 

c) et qui nécessite la coordination et la gestion des acteurs compétents au niveau national afin de faire disparaître la menace ou de limiter les conséquences néfastes de l'événement;

 

d) qui, le cas échéant, a conduit à une ou plusieurs des conséquences suivantes:

- la situation est reconnue par l'Organisation mondiale de la santé comme « Public HealthEmergency of International Concern»;

- la situation est reconnue par la Commission européenne conformément aux dispositions de l'article 12 de la décision n° 1082/2013/UE du Parlement européen et du Conseil du 22 octobre 2013 relative aux menaces transfrontalières graves sur la santé.

 

C'est le gouvernement qui va déclarer la situation d'urgence épidémique pour une période de maximum trois mois renouvelable. Ces arrêtés royaux doivent être confirmés dans les jours qui suivent par la Chambre.

Dès que la situation d'urgence épidémique est confirmée, les mesures sont prises par le ministre de l'Intérieur, donc par arrêté ministériel avec une possibilité de renforcement de ces mesures par des décisions locales (communales et/ou provinciales).

Il est prévu que les mesures doivent être nécessaires, adéquates et proportionnelles à l'objectif poursuivi.

Ces arrêtés ministériels sont adoptés également pour une durée maximale de trois mois renouvelables.

Il est prévu que ces arrêtés ministériels puissent être abrogés en tout ou en partie, mais force déjà est de constater que la loi est peu claire à ce niveau.

Les mesures possibles sont de même nature que celles qui ont été prises jusqu'à présent.

Il est expressément prévu que le port de tout dispositif de protection ayant pour effet de masquer ou de dissimuler le visage en tout ou en partie peut-être imposé, et cela maintenant pour être en conformité avec le Code pénal.

Si le mesures ne changent pas, la hauteur des sanctions non plus : emprisonnement de huit jours à trois mois et d'une amende de vingt-six à cinq cents euros, ou d'une de ces peines seulement, amendes à augmenter des décimes additionnels, donc à multiplier par 8 (de 208 euros à 4.000 euros).

C'est donc toujours le Tribunal de police qui est compétent, à l'exception cependant des infractions qui sont constatées par l'inspection du travail et qui relèvent de la compétence du tribunal correctionnel.

Il est prévu aussi que le gouverneur ou le bourgmestre pourra, en outre, procéder d'office à l'exécution des mesures, aux frais des réfractaires ou des défaillants.

Ce point ne pourra pas rester sans éclaircissements.

Pour la surveillance du respect des mesures, il est à remarquer l’intervention de nombreux services publics, chacun dans le cadre de leurs compétences.

Dans la période d'urgence épidémique déclarée, les ministres, individuellement, par rapport à leurs compétences, informent simplement la Chambre.

Une évaluation de la loi est prévue par la commission spéciale Gestion COVID-19 de la Chambre.

La publication des données scientifiques doit se faire dans les meilleurs délais.

En conclusion à ce premier texte sur l’avant-projet en question, on dira qu’un texte juridique doit être suffisamment précis et clair, c’est à dire accessible et prévisible pour lutter contre l’arbitraire.

Force est de constater que c’est loin d’être le cas ici.

 

FRANCE

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/covid-je-suis-pour-laisser-vivre-les-gens-qui-ne-sont-pas-a-risques-le-coup-de-sang-d-un-medecin-pres-de-toulouse-1979698.html?fbclid=IwAR3W-Jr_EpHYj_LnYxhNKZG-uHvkf68soNsHOhBtJk_HvjT6uMLRw7zOSqA

Patrick Lafforgue est chef de service en réanimation de la clinique d’Occitanie à Muret. À contre-courant de certains confrères qui demandent un durcissement du confinement, pour lui les conséquences économiques, physiologiques, psychologiques, éducatives appellent une autre politique. Entretien.

 

https://mobile.allodocteurs.fr/grossesse-enfant/enfant/pedopsychiatrie/100-des-lits-sont-occupes-par-des-adolescents-en-souffrance-psychique_30811.html

« Ce sont des moments où l’on va se construire et où l’on a vraiment besoin du monde extérieur, des autres, de nouvelles expériences (...)Les adolescents sont touchés dans leur développement même et dans leur autonomisation »


Дата добавления: 2021-07-19; просмотров: 68; Мы поможем в написании вашей работы!

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